Cette bataille juridique qui se joue aux États-Unis ne concerne pas que Greenpeace : elle nous concerne toutes et tous. Les entreprises polluantes se saisissent de plus en plus fréquemment de cette stratégie juridique abusive qui porte gravement atteinte à la liberté d’expression. Nous en avons récemment fait les frais en France face à TotalEnergies.
Une victoire de l’entreprise américaine pourrait créer un précédent qui menacerait notre droit à protester, et ce partout dans le monde. Nous ne pouvons pas laisser les entreprises des énergies fossiles réduire au silence celles et ceux qui osent s’opposer à elles.