Lettre de GREENPEACE

Bonjour Jean-Pierre,

Dans le débat public, certains responsables politiques qualifient de plus en plus souvent les défenseurs de l’environnement d’“éco-terroristes”. Mais derrière ces mots, il y a des vies, des visages, des histoires.

Il y a celles et ceux qui ont été réprimés, poursuivis en justice, voire condamnés pour avoir simplement défendu le vivant. Derrière cette inversion de la culpabilité, il y a des citoyens et citoyennes qui agissent non pas pour détruire, mais bien pour préserver.

Aujourd’hui, nous voulons que vous les entendiez.

Philippe, militant du groupe local de Greenpeace France à Nice
“J’ai été menotté, mis en garde à vue plus de 20h et mon domicile a été perquisitionné alors que j’avais réalisé de simples dessins à la craie pour dénoncer la surpêche dans des aires marines dites protégées. Je suis déterminé à protéger les océans, aussi longtemps qu’il le faudra !”
Philippe, militant du groupe local de Greenpeace France à Nice
Si défendre les océans face à la surpêche est un crime, alors nous plaidons coupable. Et vous, Jean-Pierre, que plaidez-vous ? 
Je fais un don
Véronique, militante du groupe local de Greenpeace France à Tours
“J’ai été convoquée devant un tribunal pour avoir simplement tenu une banderole, devant la mairie de Tours, avec une affiche alertant sur la protection de l’eau comme bien commun. Heureusement, le tribunal a jugé la procédure illégale. Je me suis sentie comme une criminelle alors que je n’avais rien fait de mal !”

Véronique, militante du groupe local de Greenpeace France à Tours
Si défendre la planète face aux intérêts privés est un crime, alors nous plaidons coupable. Et vous, Jean-Pierre, que plaidez-vous ?
Je fais un don
Lucie, activiste de Greenpeace France
“J’ai pris part à une action pacifique visant à dénoncer le modèle d’élevage intensif des fermes-usines, un véritable fléau environnemental, social et sanitaire. Malgré notre attitude non violente, les forces de l’ordre ont choisi la répression : j’ai fait près de 40h de garde à vue, en tout j’ai été privée de liberté pendant 56h ! Cette mesure était totalement disproportionnée. Cela ne fait que renforcer ma détermination à agir pour un modèle agricole plus juste et respectueux du vivant.”

Lucie, activiste de Greenpeace France
Si dénoncer les fermes-usines qui nous empoisonnent nous et nos campagnes est un crime, alors nous plaidons coupable. Et vous, Jean-Pierre, que plaidez-vous ?
Je fais un don
Face à cette répression disproportionnée, nous ne plierons pas ! Nos voix peuvent être bâillonnées, mais pas notre détermination. Nous continuerons à dénoncer les multinationales qui détruisent la planète, à soutenir celles et ceux qui osent parler, et à agir sans relâche.Si cela vous indigne, vous pouvez agir Jean-Pierre : votre don est un véritable acte de résistance – il garantit notre indépendance financière et nous permet d’agir sans relâche.

Alors d’avance merci d’être à nos côtés.
L’équipe Greenpeace

PLAIDEZ COUPABLE DE DÉFENDRE LE VIVANT ET RECEVEZ VOS AUTOCOLLANTS !
PLAIDEZ COUPABLE DE DÉFENDRE LE VIVANT ET RECEVEZ VOS AUTOCOLLANTS !
Faites un don avant le 31 décembre et recevez vos autocollants en édition limitée, en remerciement de votre générosité.Montrez haut et fort votre engagement contre celles et ceux qui menacent la planète !

Greenpeace
C’est seulement grâce à votre générosité que nous pouvons agir au quotidien, Jean-pierre !
💚 Merci pour votre soutien régulier 💚
Contactez-nous
Facebook
Instagram
YouTube
Bluesky
Threads

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*