Vous y découvrirez comment est censé fonctionner le modèle français de gestion de l’eau, comment les lobbies agricoles ont réussi à détourner toutes les instances de gouvernance au profit d’une minorité d’acteurs agro-industriels, mais aussi
comment l’État peut mettre un terme à ces pratiques, notamment en encadrant de façon stricte les conflits d’intérêts.
Dans un monde où la question des usages que l’on fait de l’eau est devenue infiniment politique et dans lequel cette ressource vitale se raréfie, venir enquêter sur la façon dont les décisions sont prises en matière de répartition et de gestion de cette précieuse ressource nous semblait primordial. Et à raison.
La médiatisation de ce rapport est le premier jalon de notre travail.
Dans les prochains mois, nous allons multiplier les rendez-vous avec les représentant·es des services de l’État, les établissements publics impliqués et des député·es.
Nous nous appuierons également sur notre réseau de groupes locaux militants pour inciter les collectivités locales à prendre des engagements concrets en faveur d’une protection de la ressource en eau et de plus de transparence sur la façon dont elle est gérée afin d’engager une véritable transition vers l’agroécologie.
Notre travail d’investigation est nécessaire pour nous permettre de jouer notre rôle de contre-pouvoir. Il est uniquement permis grâce à votre soutien Jean-pierre, et à celui de nos 240 000 adhérents et adhérentes à vos côtés. Notre gratitude est à la hauteur de notre détermination.
Vous souhaitez agir concrètement pour nous aider ?
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