C’est une dernière occasion de mettre la pression sur les candidats et les électeurs à la veille du scrutin européen. Des jeunes ressortent leurs pancartes rivalisant de bons mots : « Plus tard, je veux être vivant », « Je ferai mes devoirs quand vous ferez les vôtres ». Ils s’apprêtent à descendre dans la rue, vendredi 24 mai, afin de demander aux dirigeants d’agir contre le dérèglement climatique. Une nouvelle grève internationale pour le climat, après celle du 15 mars, qui avait réuni 1,8 million d’étudiants, de lycéens et de collégiens dans 130 pays. Car cette « génération climat » veut peser dans le débat politique.e la pression sur les candidats et les électeurs à la veille du scrutin européen. Des jeunes ressortent leurs pancartes rivalisant de bons mots : « Plus tard, je veux être vivant », « Je ferai mes devoirs quand vous ferez les vôtres ». Ils s’apprêtent à descendre dans la rue, vendredi 24 mai, afin de demander aux dirigeants d’agir contre le dérèglement climatique. Une nouvelle grève internationale pour le climat, après celle du 15 mars, qui avait réuni 1,8 million d’étudiants, de lycéens et de collégiens dans 130 pays. Car cette « génération climat » veut peser dans le débat politique.C’est une dernière occasion de mettre la pression sur les candidats et les électeurs à la veille du scrutin européen. Des jeunes ressortent leurs pancartes rivalisant de bons mots : « Plus tard, je veux être vivant », « Je ferai mes devoirs quand vous ferez les vôtres ». Ils s’apprêtent à descendre dans la rue, vendredi 24 mai, afin de demander aux dirigeants d’agir contre le dérèglement climatique. Une nouvelle grève internationale pour le climat, après celle du 15 mars, qui avait réuni 1,8 million d’étudiants, de lycéens et de collégiens dans 130 pays. Car cette « génération climat » veut peser dans le débat politique .
Info / Le Monde .