l’essentiel Douze ans de travail, des milliers de pages de dossiers, huit forteresses majestueuses du sud de l’Occitanie… La candidature au Patrimoine mondial de l’Unesco des anciens « châteaux cathares » est désormais entre les mains de l’institution internationale. Mais pour franchir cette étape décisive, il a fallu tourner une page symbolique : abandonner l’appellation « cathare », chère à l’imaginaire occitan et à des générations de touristes, au profit d’un terme jugé historiquement plus juste : « forteresses royales ». Une correction nécessaire pour les uns, une trahison pour les autres.

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