Ces parents lozériens voulaient appeler leur enfant Artús avec, conformément aux règles de la graphie occitane, un accent aigu sur le -u (lequel modifie la prononciation), comme ils l’expliquent dans ce reportage de TF1. Ils se sont vu opposer un veto de l’administration selon laquelle seuls les « signes diacritiques » utilisés en français sont admissibles. Règle en vertu de laquelle – la liste qui suit s’appuie des exemples réels – Merdive, Euthanasia, Huterin et autres Beltrich-Blessing et Lola-Poupoune sont, eux, acceptés ; ( M. Feltin-Palas ) .
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