L’huile d’olive d’Occitanie reconnue en AOC

https://scontent-bru2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/33198784_415614618909602_4220742637558169600_o.jpg?_nc_cat=103&ccb=2&_nc_sid=09cbfe&_nc_ohc=PSduzKUaldIAX9lCbGl&_nc_ht=scontent-bru2-1.xx&oh=6024c6ee58730849fe750622e365664b&oe=5FF0E9F5Avec 243 produits sous Signes d’identification de la qualité et de l’origine (SIQO), la région Occitanie est un territoire où qualité et savoir-faire s’allient au service de l’authenticité et du goût. Des produits certifiés « officiellement bons » aussi divers et particuliers que les terroirs dont ils sont issus.

L’huile d’olive du Languedoc vient d’être reconnue en Appellation d’origine contrôlée (AOC).

Cinq après la reconnaissance en Appellation d’origine de la Lucques du Languedoc, c’est donc au tour de l’huile d’olive du Languedoc d’obtenir ses lettres de noblesse venant s’ajouter aux quinze appellations déjà reconnues en France.

Il s’agit là d’une protection nationale transitoire AOC jusqu’à l’homologation européenne qui la fera forcément évoluer vers l’Appellation d’origine protégée (AOP) avec 430 communes dans son aire géographique.

L’huile d’olive du Languedoc représente ainsi l’excellence de la production des départements de l’Hérault et de l’Aude et apporte une origine garantie au consommateur.

Pourquoi une huile plurivariétale ?

Comme pour la plupart des AOC déjà reconnues, l’assemblage marque la typicité du produit. Les variétés principales Lucques et Olivière sont répandues sur l’ensemble du territoire. Elles constituent le fil conducteur de l’Appellation. Il s’agit ensuite de laisser s’exprimer tout le savoir-faire du producteur ou du moulinier qui donnera à son produit le petit plus qui le caractérise en jouant sur les proportions ou encore la semaine de récolte.

Contrôle qualité

Un signe. La ténacité des producteurs, des moulins et des coopératives rassemblés au sein du Syndicat de défense de la Lucques et de l’Huile d’olive du Languedoc aura fini par payer. « C’est une grande satisfaction de voir aboutir ce dossier après de longues années de travail. » ( Le Petit Journal ) .

 

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