Le président du Parti Breton aux Législatives avec 33 autres régionalistes Bretons

Président du Parti breton, habitant de La Chapelle-Thouarault, Mathieu Guihard est candidat aux législatives le 12 juin 2022. Il se présente dans la 3e circonscription d’Ille-et-Vilaine, qui comprend les cantons de Bécherel, Combourg, Montfort-sur-Meu, Montauban-de-Bretagne, Rennes Nord-Ouest, Saint-Méen-le-Grand, et Tinténiac. Entretien

Qui êtes-vous ?

J’ai 47 ans, 2 enfants, je suis formateur et j’habite à La Chapelle-Thouarault. Je suis également président du Parti breton, et depuis janvier président de Pays unis, la fédération qui regroupe des partis régionalistes et nationalistes : Parti breton, Parti lorrain, Bastir Occitanie, EAJ-PNB (Parti nationaliste basque), Alternative alsacienne, Prouvènço Nacioun et le Parti de la nation occitane.

Pourquoi vous engagez-vous ?

Je propose aux électeurs une voix bretonne à l’Assemblée nationale, une alternative aux grosses écuries parisiennes, de La République en marche (LREM) aux extrêmes de droite et de gauche.

La qualité de vie est connue et reconnue en Bretagne comme dans notre circonscription, mais elle est aujourd’hui gravement remise en cause dans l’immobilier, le pouvoir d’achat, la santé, les transports, la sécurité, l’énergie, ou encore la richesse de notre vie sociale. Je m’engage dans cette élection pour défendre les intérêts économiques, sociaux et culturels du peuple breton, comme tous nos candidats du Parti breton en Bretagne et dans le monde, car nous sommes aussi présents en Europe centrale et en Amérique du Nord.

Quelles propositions défendez-vous ?

La Bretagne est un géant économique mais un nain politique, parce que Paris concentre tous les pouvoirs de décision… et les finances ! Il faut sortir de cette relation de dépendance et nous doter d’un gouvernement régional dans une Bretagne réunifiée.

Les décisions doivent être prises en partant du terrain, localement et de manière transparente, tout l’inverse des énarques qui décident dans les ministères à Paris. Pour nos acteurs économiques et sociaux, je défendrai les services publics et les services au public, par exemple pour réduire notre triste record de délai pour avoir un rendez-vous chez le médecin ou le dentiste.      ( Info / Ouest France ) .

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