Vous avez amené au CES une trentaine de startups d’Occitanie, quelles sont vos premières impressions à mi-parcours ?
Les retours à cette étape sont très bons. Nos startups ont eu de bons et sérieux contacts et je suis très fière d’elles, elles crédibilisent notre discours parce qu’elles sont bonnes et préparées pour être performantes ici. Elles sont notre vitrine et je revendique un patriotisme économique régional. Ce qui compte ensuite c’est la qualité et le suivi de ces contacts qu’on assure avec les équipes Ad’Occ. Mon obsession est que le flux de contacts, investisseurs, clients potentiels soit fructueux, qu’on donne une visibilité internationale à la région Occitanie et qu’on génère des opportunités d’implantation pour des étrangères étrangères.
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